Votre enfant est inattentif, distrait, rêveur éveillé ? Il oublie sans cesse ses affaires ? Ou encore, il se lasse rapidement et a besoin d’être stimulé constamment? Il apparaît contrarié ou très agité, opposant, indiscipliné, malgré le rappel constant des règles éducatives, les valeurs transmises. Qu’en est-il réellement ?
Il est encore particulièrement doué dans certaines matières ? Particulièrement vif en réflexion ? Il s’ennuie à l’école.
Sa manière de communiquer, d’être en relation vous interpelle ?
Votre enfant se fait du mal (coupures, morsures, griffures, arrachage des cheveux …). Ou il fait du mal aux autres. Cela vous inquiète ?
Il semble perturbé, inquiet, renfermé ? Il s’isole ? L’usage des écrans est-il devenu un problème ? Ou l’usage de substances nocives ?
Il dort mal ou mange mal, en excès ou insuffisamment ?
Il vit ou gère difficilement sa scolarité ? Il ne veut pas travailler ou n’y arrive pas (ou plus). Il procrastine, décroche ou abandonne. Il refuse d’aller à l’école.
Il éprouve des difficultés d’apprentissage. Il est démotivé. Il a perdu confiance, espoir, envie ?
Il est malmené, harcelé par ses pairs ou il a subi d’autres histoires compliquées à l’école ou ailleurs ? Vous hésitez à le changer d’établissement ou d’environnement ?
Vous reconnaissez votre jeune dans l’une de ces problématiques ? Je peux l’aider à sortir de l’impasse grâce à un accompagnement qualitatif.
Forte d’une longue expérience et formée aux troubles spécifiques des apprentissages, à la remotivation scolaire, au TDA/H (enfants et adultes), au HPI, à la régulation émotionnelle, au harcèlement et à diverses thématiques, mon objectif est de permettre à votre enfant ou votre ado de retrouver un mieux-être global (scolaire, relationnel, psychique, cognitif, familial).
J’aiderai encore le jeune à trouver sa méthode d’apprentissage ou son orientation, si le choix d’options, le type de pédagogie ou d’écoles représentent des éléments cruciaux à évaluer.
Le traitement se veut engageant mais toujours fondé sur la bienveillance, la douceur et la confiance.
Même face à un jeune qui s’exprime peu ou pas, mon approche concrète, dynamique et chaleureuse l’aide souvent à se libérer et à (re)trouver l’envie de se dépasser et une image de soi positive (voir mes outils et mes objectifs).
Au besoin, je développerai un contact étroit, collaboratif avec tous les acteurs impliqués (médecin, enseignants…).
J’accompagnerais, selon les cas, les parents à s’ajuster au mieux à leur enfant.
Parfois, on remarque des difficultés durables ou au contraire des sur-efficiences. Doit-on faire un bilan à visée diagnostique ? Dépister un éventuel trouble spécifique des apprentissages, un trouble de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) ou un haut potentiel (HPI) ? Un trouble anxieux ? Une autre spécificité ? Il est cependant important de comprendre ce que cela implique pour l’enfant et sa famille avant de se lancer dans une démarche d’investigation clinique complexe. Il est toujours important de fonder une réflexion antérieure, laquelle sera riche de sens pour la suite.
Et si un diagnostic est établi, si l’enfant a un TDA/H ou s’il présente une autre atypie ? S’il semble tellement « différent » ou suffisamment en difficulté pour que la question d’investigation se pose ?
Si encore un traitement médical est suggéré, voire d’autres formes de recommandations, que va-t-on faire avec tout cela ? Y-a-t-il d’autres solutions ou d’autres démarches utiles à compléter ou à engager ?
C’est dans ce contexte que je vous invite à me contacter afin de vous guider dans ces réflexions et dans la mise en œuvre d’actions ou d’aménagements congruents.
Un jour, L, 14 ans m’a évoqué cette phrase pleine de lucidité mais emplie d’angoisse : « Je sais d’où je viens mais je ne sais pas où j’irai ».
Les nombreuses décisions à prendre (choix des matières, d’études) occasionnent chez beaucoup d’adolescents un stress parfois important et quelquefois douloureusement chronique et pernicieux.
En effet, de nombreux jeunes se questionnent anxieusement au sujet de leur orientation et/ou avenir. D’autres fuient parfois à l’extrême ces sujets pénibles pour se protéger de la lourdeur de ressentis accablants. Mais les ados sont également impactés par les changements multiples auxquels ils doivent faire face et qui les traversent malgré eux : changements hormonaux, cognitifs, physiques, émotionnels, nouvelles exigences de l’école, des parents, importance axée sur le regard des autres, peur de décevoir et comparaisons multiples (sociales, fraternelles, familiales), nouveaux attraits, difficultés récentes d’apprentissage ou accroissement de celles-ci, etc.
Les adolescents cherchent encore à définir leur identité. Ils veulent être validés à tout prix par leurs pairs tout en s’adaptant à des pressions parfois intenses. Entre les réseaux sociaux qui glorifient les apparences presque parfaites et les attentes académiques ou parentales, les jeunes sont souvent « sous pression », surmenés et parfois malmenés.
Des signes subtils de détresse qui peuvent passer inaperçus méritent toute l’attention, et ce parfois bien plus que la parole. On peut citer : les gestes, les postures ou autres attitudes comme l’isolement, l’évitement du regard ou de la parole, l’absence de sourires, le regard inquiet, furieux, fermé, éteint, distant, triste, vide… Bien sûr, il peut être difficile de faire la différence entre une simple mauvaise journée et un problème plus profond, mais certains signes reviennent systématiquement lorsque les perturbations s’installent.
La traversée de l’adolescence peut être délicate, voire risquée. Le jeune craint d’être rejeté. Il peut se sentir esseulé et incompris, même en étant abondamment entouré. Ces ressentis alimentent le retrait et les comportements problématiques. Un accompagnement soutenu durant cette période vulnérable est parfois plus que nécessaire pour interrompre cette spirale négative. Contactez-moi.
Mais parfois le jeune et/ou ses parents ont seulement besoin de comprendre certains aspects plus complexes ou tout simplement nouveaux. Une fois que la compréhension émerge, que la réassurance se tisse, que chacun se redéfinit dans un système confiant et évolutif, la famille poursuit son chemin en toute quiétude et avec une meilleure solidité encore.
Le comportement d’un enfant ou d’un adolescent décrit sa manière d’agir, sa façon de se conduire dans la vie. Le comportement peut apparaître de manière excessive ou au contraire faire défaut. Un comportement en excès va produire de l’agitation, des prises de risque, de l’instabilité, du bruit, de l’opposition ou de l’agression… Mais un comportement par défaut est tout aussi problématique. Un jeune qui ne parle pas, qui ne bouge pas, qui n’a pas d’amis, qui se fait oublier, qui est malmené voire harcelé, peut être autant en souffrance que celui qui fait du bruit, à la différence qu’il ne dérange pas car il se tait… Et pourtant…
Quand un enfant est en difficulté scolaire, comportementale ou relationnelle, son estime de soi risque de dégringoler. Le stress, l’épuisement, le désintérêt ou l’impuissance, parfois la perte de sens, vont s’installer si les échecs, l’incompréhension ou les autres difficultés se poursuivent. De l’anxiété, des insomnies, du repli sur soi, l’abandon d’activités, des problèmes médicaux ou alimentaires, une dépression ou un burnout et des difficultés d’attention peuvent encore s’ajouter ou se majorer. Selon les nécessités, un rapport d’aménagement scolaire peut être effectué.
Mais un jeune « brillant », peut-être même Haut Potentiel Intellectuel (HPI), sans signe de détresse apparente, n’est pas non plus exempt de fragilités lorsque des tensions intérieures diverses – mais peu visibles – le taraudent. Parfois, la quête de perfection peut l’obséder, et lui aussi, il peut finir par chavirer.
Il arrive aussi que le jeune s’auto-malmène à travers des comportements inquiétants : automutilations, conduites addictives, fréquentations douteuses, troubles de l’alimentation, abandon scolaire, fugue, violence, crise, usage excessif des écrans etc., seules façons pour lui de retrouver un semblant de contrôle sur lui-même ou d’appeler à l’aide ! Parfois c’est le dégoût de soi, la colère, la tristesse, l’anxiété majeure, la solitude, l’incompréhension qui le rongent et ces comportements viennent alors soulager des émotions insoutenables, indicibles et parfois non identifiées ou encore niées. Comme si le comportement s’entremêlant avec la posture, le regard, les gestes, les actes, le corps avec ses manifestations et la conscience émotionnelle étaient diamétralement séparés, voire opposés. On entendra alors l’adolescent dire : « T’inquiète, je gère. »
« Croire en l’enfant/l’ado c’est bien, l’aider à croire en lui c’est mieux. »
Françoise Roemers – Poumay
Les raisons qui plongent certains adolescents dans des comportements inquiétants et qui les empêchent de communiquer de manière cohérente, au vu de leurs multiples contradictions, sont nombreuses :
Certains comportements inquiétants (scarification, trouble alimentaire, consommation pathologique d’écrans, de substances…) peuvent s’installer dans une dépendance. Un cercle vicieux se met donc vite en place. L’enfant/l’ado peut avoir du mal à s’arrêter. Un manque peut donc se créer en cas d’arrêt.
Il est donc important de consulter immédiatement lorsqu’un enfant ou un adolescent se fait du mal… même très « légèrement ».
« Croire en soi, c’est déjà presque réussir »
Victor Hugo
Le travail thérapeutique aura comme premier but d’identifier ce que vit l’enfant à travers son comportement, ses émotions, sa scolarité, ses amis, sa famille – et comment ses parents, ses enseignants – font face à cela. On cherchera à savoir si ce comportement apparaît dans tous les milieux (école, garderie, famille…) ou s’il est relié à un seul milieu.
Ensuite, après avoir clarifié certaines données essentielles, des défis seront posés ensemble. Des stratégies spécifiques seront transmises au jeune (et selon le cas à sa famille) afin qu’il puisse être mieux outillé sur le plan relationnel, émotionnel, scolaire et comportemental. Si l’enfant/l’ado a été victime de harcèlement, un accompagnement spécifique et des outils concrets lui seront enseignés pour que cessent les agressions verbales et qu’il puisse se (re)construire.
L’objectif est de rendre le jeune actif et autonome pour lui permettre de désamorcer les situations difficiles et rehausser sa confiance ainsi que son sentiment de maîtrise personnelle. En fonction de l’âge et des problématiques de l’enfant, la famille, parfois l’école, occuperont une place active dans ce cheminement. Un contact étroit avec les partenaires essentiels (enseignants, parents, éducateurs) est souvent effectué au cours du traitement. Le suivi personnalisé amènera le jeune (et/ou sa famille) à découvrir d’autres modalités de fonctionnement, d’autres facettes de soi, parfois d’autres orientations, gages de son bien-être et d’exploitation maximale des habilités.
Un bilan des difficultés et des forces de votre enfant peut vous être proposé.
Sont concernés : les enfants/adolescents et jeunes adultes
En supplément de mon approche, des conseils concrets et personnalisés, des outils pédagogiques, des fiches-questionnaires et autres documents vous sont toujours transmis afin d’identifier et de traiter au mieux la problématique qui affecte votre bien-être et votre avancée (voir mes outils). Une première séance bilan inclut plusieurs de ces documents et sert à déterminer la prédilection de l’orientation du travail.
Christel DEMEY propose ses interventions en vue d’augmenter les ressources de l’être humain pour qu’il puisse mieux encore équilibrer sa vie personnelle, sa vie de famille ou relationnelle.